Nos lectures

Le train est un endroit privilégié pour s’atteler à différentes lectures, savourer les mots et les histoires … Voici la liste des ouvrages qui nous accompagnent :

Le vieux qui lisait des romans d’amour, Luis Sepúlveda (très beau roman/nouvelle évoquant la vie d’un vieillard en Amazonie)

Dans les forêts de Sibérie, Sylvain Tesson (récit de Sylvain Tesson de ses 6 mois reclu au bord du lac Baïkal)


Quinze sortes de ketchup. A cause de choses pareilles, j’ai eu envie de quitter ce monde.

« Moins on parle et plus on vivra vieux », dit Youri. Je ne sais pas pourquoi mais je pense soudain à Jean-Francois Copé. Lui dire qu’ il est en danger.

Sylvain Tesson

Le poète, Michael Connelly

La blonde en beton, Michael Connelly

Sur la route, Jack Kerouac

Le petit prince, Antoine de Saint-Exupéry

Les confessions, Jean-Jacques Goldman (euh Rousseau)

Le livre de mon ami, Anatole France

Cela dit, j’aurais tout dit, si, depuis vingt ans, nous n’avions en France et, je crois bien, dans le monde entier, l’idée qu’il ne faut donner aux enfants que des livres de science, de peur de leur gâter l’esprit par de la poésie.
Cette idée est si profondément enracinée dans l’esprit public qu’aujourd’hui, quand on réimprime Perrault, c’est seulement pour les artistes et les bibliophiles. voyez, par exemple, les éditions qu’en ont données Perrin et Lemerre.
Elles vont dans les bibliothèques des amateurs et se relient en maroquin plein avec des dorures au petit fer.
Par contre, les catalogues illustrés des livres d’étrennes enfantines présentent aux yeux, pour les séduire, des crabes, des araignées, des nids de chenille, des appareils à gaz. C’est à décourager d’être enfant. A chaque fin d’année, les traités de vulgarisation scientifique, innombrables comme les lames de l’Océan, inondent et submergent nous et nos familles. Nous en sommes aveuglés, noyés. Plus de belles formes, plus de nobles pensées, plus d’art, plus de goût, rien d’humain. Seulement des réactions chimiques et des états physiologiques.
On m’a montré hier l’Alphabet des Merveilles de l’Industrie !
Dans dix ans, nous serons tous électriciens.

L’étranger, Albert Camus

(…) je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m’avait purgé du mal, vidé d’espoir, devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles, je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l ‘éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore.

Albert Camus

Liberty BarSimenon

Les freres Karamazov, Dostoievski

Manifeste vagabond, Blanche de Rıchemont

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